Los alumnos y alumnas han realizado: páginas web, correos electrónicos personales, y trabajos relacionados con el tema común "La ciudadanía europea responsable"
Página web realizada por Miguel Ángel y Juanjo Páginas web realizadas por el grupo dealumnos/as de Valencia Trabajos de síntesis realizados por los alumnos/as de Valencia "La Historia de España desde una perspectiva francesa" Los antecedentes del franquismo L'instabilité,caractéristique de la 1ere moite du XXe siecle,va avec l'agonie de la monarchie espagnole de 1917 à 1931.La guerre européenne avait d'abord semblé donner un nouveau souffle à l'Espagne qu'elle epargnait tout en stimulant son economie.L'année 1917 et le triennat bolchevique qu'elle ouvrait prouve qu'au contraire son systeme politique exangue se trouva bien vite confronté à une menace revolutionnaire prise au sérieux par lénine lui même.La classe politique se divisa tandis que le régime de la restauration finissait de se désagreger.Quant au miltaire,mécontent de leur sort et decider à lutter contre le favoritisme royal,ils formèrent les juntes de défense que le pouvoir civil en pleine décomposition fut oblige de légitimer.L'agitation sociale se declencha,le mouvement revendicatif,decide de conserve par les centrales syndicales socialistes et anarchistes fit tâche d'huile.une grève generale paralysait l'Espagne.Le regime opta alors pour la répression afin de rétablir l'ordre.Le desordre politique etait à so son maximum.L'agitation revolutionnaire secouait les provinces.Aux grèves,répondaient les jaunes briseurs de greves,l'armee s'enlisait dans la pacification du rif,plus impopulaire.Ces deux elements sont inseparables pour avoir faciliter le rassemblement des defenseurs de l'ordre autour de primo de Rivera.L'armée est toute prete à expliquer ses revers humiliants par la trahison de parlementaires ineficaces.Après avoir ete reconnu chef d'un directoire militaire,Primo mettait fin au systeme constitutionnel:établissement de la censure,création de milices bourgeoises mais sans que les partis politiques,peu désireux de défendre un regime desavoue,ne sorte de leur reserve.La junte militaire fut remplace par un directoire civile.Il est donc incontestable que la dictature espagnole a cherchée a imiter le regime mussolinien,mais seulement comme gage d'efficacité et de capacite mobilisatrice et sans porter atteinte aux structures traditionnelles.L'Espagne,malgré quelques modernisations n'en etait pas moins entree de plein pied dans le monde moderne.Mais le decomposition de la dictature a partir de 1928 tient pour beaucoup à la carence manifeste en matiere sociale.Les avantages concedes peuvent ils compenser le passif:interdiction de la greve,charte du travail et comite paritaire inspire du fascisme corporatiste,ignorance du probleme agraire? Beaucoup sont victime de l'arret de la croissance et de l'erosion monetaire.Primo en 1930,choisit de demissionner.Des lors la monarchie n'etait plus qu'en sursis. Cependant,l'opposition a la monarchie gagnait du terrain.
Mais l'Espagne est aussi un modèle démocratique. La République des Intellectuels (de 1931 à 1936), cette révolution douce, sans effusion de sang, forme un net cotraste avec les passions et la violence politique qui marqueront en revanche de leur sceau la parenthèse républicaine. L'étude de cette période heurtée ne peut donc que suivre les méandres de l'évolution politique scandée par le suffrage universel: la tentative de république réformiste du premier bueno, auquel succede le bienionégro après la victoire d'une coalition de droite aux élèctionhs de 1933, le succès du Fonto Popular à celles de 1936 enfin "veillées d'armes" à l'aube de la guerre civile. G. Heremet, qui a étudié ceux qu'il appelle les "democrates-chrétiens francistes" dabs son ouvrage, sur "les Catholiques dans l'Espagne franquiste", souligne qu'ils espéraient concilier leur fidélité au Caudillo et à l'idéologie de la croisade anticommuniste avec un certain libéralisme politique et social. L'ambition de ce nouveau personnel politique était d'investir le régime de l'intérieur pour le faire évoluer. Or, leurs aquis furent plus superficiels que réels. Ils ont blanchi la respectabilité extérieure du régime par l'institutonnalisation apparente de germes de DEMOCRATIE, ce que la normalisation internationaleau demeurant leur succès majeur a avalisé mais se sont compromis avec la dictature. Les tentatives de libéralisation culturelle et intellectuelle engagées par le ministre de l'éducation depuis 1951 et futur opposant démocrate-chrétien, ont abouti à la crise qui a amené leur disgrace. La réhabilitation d'intellectuels de la gauche modérée, la résurgence d'un certain pluralisme de pensée à l'Université, la réforme des dtructures de l'enseignement et du syndicalisme estudiantis, qui mettrait fin au monopole du parti, a sucsité l'hostilitéduMoviento des heurts entre le SEU phalangiste et l'Uni- Démocratique des etudiants ont conduit en 1956 au désavoeu des phalangistes mais aussi au renvoi des "catholiques de gouvernement". L'heure est désormais au changement de cap politique. Le gouvernement Bienoréformateur s'était inspiré du modèle français Jacobine et laïque, mais ,c'etait oublier que les republicains etaient peu nombreux dans une espagne sans traditions democratique.Le centre de l'ateneo,que dominait les intelectuels tels que Jose ortega y gasset etait important . La guerre civile d'espagne marque la renaissance d'une veritable conscience democratique.La population requisitionnee se mobilise pour que"madrid soit le verdun de la democratie","la tombe du fascisme...La capitale symbole où se confonde l'histoire et la legende de la resistance populaire, de l'hiver 1936 a la chute finale.C'est l'incarnation par excellence du peuple en arme,le peuple espagnol,mais aussi les democrates venus dans les brigades intenationales defendre dans la solidarite les valeurs universelles de la democratie.Cette evocation rapide de madrid en arme resume pour nous cette guerre fratricide,conflit ideologique et moderne,qiu a focalise l'attention et l'engagement du concert international.Quant aux generaux, ils avaient decide leur putsch de juillet 1936 pour regenerer l'espagne,la sauver du desordre et garantir son unite nationale menacee par les sparatismes regionaux.(la fin pour bientot)
rapport sur Guernica l'oeuvre dénonciatrice de Pablo Picasso.Pablo Picasso, artiste Espagnol, peint en 1937 Guernica une de ses oevres les plus célèbres à la suite du bombardement de la ville de Guernica par l'aviation Allemande.Indigné par cet acte de violence ayant couté la mort de nombreuses personnesil dédie son oeuvre au peuple espagnol. Guernica est une oeuvre nettement influençée de la période bleue de Picasso. Cette immense toile de 3.50 mètres sur 7.82 mètres est une dénonciation du Franquisme qui sévit en Espagne. Picasso, par cette oeuvre, dénonce ouvertement le régime politique fasciste de son pays. Il s'investit alors totalement en tant qu'artiste défendant la démocratie, Guernica en est bel et bien la preuve. Il s'engage politiquement dans ce qui est pour lui une indignation en dénoncant encore une fois ce régime dictatorial qu'il vise à critiquer dans ses oeuvres et il y prône la démocratie. Voilà pour l'instant le début de mon rapport sur Picasso je vous enverrai la suite une fois que nous aurons visité le Musée Picasso de Paris.A bientôt
LA GUERRA CIVIL, CRUZADA RELIGIOSA Aussi la memoire nationaliste puise t elle aux memes sources pour en retenir l'idée de croisade, ou de combats pout la religion et la patrie est mennée au nom de la tradition espagnole, cette reference constitue à l'ideologie traditionaliste, avais joué à nouveau sous la republique la guerre civile ne pouvait que lui donnée une nouvelle actualité.L'Espagne est aussi le lieu de la cristalisation du millieu militarisme politique internationale. Les temoins qui s'y rendent sont tous engagés des un capms ou l'autre et se font les echos d´une verité.les intellectuels ont plus tot etes conduits à la defence,republique au nom de la democratie et leurs oeuvres en temoignent.La guerre civile ouvrit en faite les grands debats intellectuels comtanporains.La guerre civile d´Espagne, leur fraticides des deux espagnes, concernait les democracies européennes. Elle fut ressentie par elle comme le coup de grace ^porté à un equilibre internationale deja bien compromis par le nationaliste agressif des dictatures fascistes. Or les forces nationalistes beneficierent du soutien materiel de ces dernieres des le debut du conflit ce qui leur permit de surmonter leurs echecs initiaux dans l'aviation et la marine.les faits de guerre en esp des volontaires seront comtabilisés au titre de la defence nationale. La guerre devient en fait le terrain des essais des materiaux modernes, une repetition generale avant la conflagration nationale. LE ROLE DU ROI JUAN CARLOS DE BOURBON DAND LA REUSSITE DE LA TRANSITION. En 1975, franco mourait apres une longue agonie, le roi entamait avec l'aide de son nouveau 1er ministre, une operation de democratisation réussie. Le roi , né en exile le 5 janvier 1938 est le fils de Don Juan comte de Barcelone, 3° fils d'Alphonse XIII et heritier de la couronne. Le general franco, monarchiste de principe avait surtout pour but de modeler à sa convenance un successeur fidel lorsqu'il etait convenu avec le pretendant le fils de ce dernier venir poursuivre ses etudes dans la mere patrie.En 1969, il etait solenellement proclamer successeur de Franco.Il était à craindre que des contraintes economiques n'handicapent la transition politique. En revanche l'institution monarchique devait s'averer un vecteur efficace: les larges prerogatives constitutionnelles dont les lois franquistes l'avait dotée lui ont d'autant mieux permis de franchir la porte de la democracie que le prestige et bientot la popularité personnelle du souverain aidaient à convaincre les plus reticents de l'inéluctabilité de l'évolution. ¤ Être vigilant
Responsabilidad de los alemanes ante el ascenso del nazismo Nous nous appelons Guillaume, Mathieu et Fabien, et nous avons chacun 16 ans. Nous passerons, l'année prochaine, le baccalauréat scientifique et nous envisageons, respectivement, une carrière de pilote d'hélicoptère, d'archéologue et de pilote de ligne. Notre travail consiste à étudier les responsabilités du citoyen allemand lors de ce dernier siècle en nous appuyant sur différentes questions telles que Pourquoi, dans ce pays, y a-t-il eu deux dictatures, à savoir les dictatures nazie et stalinienne ? Où es la responsabilité du citoyen allemand dans l'installation de ces dictatures ? En étudiant la République de Weimar, où est la faillite, l'échec, de la démocratie allemande ? Il est évident qu'une démocratie demande une vigilance, une conscience particulière, aux citoyens vis-a-vis du gouvernement et des détenteurs des pouvoirs. Or, a la veille de la dictature nazie, cette vigilance était inconnue pour la plupart des allemands qui n'avaient vécu qu'une quinzaine d'années de régime republicain, d'ailleurs fort décevant, lors de la République de Weimar. En effet, avec la crise économique, la faillite du mark, et surtout avec l'acceptation du traité de Versailles, les Allemands eurent une image très négative de cette République et gardèrent un très mauvais opinion de la démocratie. On peut donc dire que, jusqu'à la fin de la 2nde Guerre Mondiale, avec l'échec des révolutions bourgeoises de 1848 et la sauvegarde de l'ancien régime par Bismarck, la démocratie ne s'est jamais vraiment instaurée en Allemagne. D'un point de vue assez général, l'étude de la mentalité allemande nous a conduit à un certain nombre de questions Est-ce que l'Allemand a une mentalité démocratique ? Sachant qu'il n'a jamais connu la démocratie, comment pourrait-il l'avoir, alors que nous, français, avons mis près de 170 ans à installer la démocratie française, depuis la révolution 1789 à la Ve République ? Est-ce que les Allemands sont des « stéréotypes » ? Ne sont-ils bons qu'à exécuter les ordres ? Cette hypothèse expliquerait leur incapacité à se révolter et expliquerait l'échec des révolutions bourgeoises allemandes. Ces questions renvoient au fait que les Allemands ne connaissaient pas la démocratie. De là, on arrive à une première réponse: « La démocratie n'a pas été défendue car les Allemands n'ont pas connu la démocratie et ne voulait pas d'une démocratie ! » Cette absence du désir des libertés offertes par la démocratie explique bien l'installation des dictatures en Allemagne. A partir de cette réponse, on ne peut plus vraiment parler de « citoyen » allemand ou de « citoyenneté » allemande, on ne peut donc plus alors parler des « responsabilités des citoyens allemands ». Cependant, il est possible que, malgré une vigilance et une conscience citoyenne que les Allemands auraient effectivement, les citoyens allemands aient été trompé, car c'est effectivement le cas, par les discours et les promesses d'Hitler, qui se révéla être un très bon orateur. D'ailleurs, meme en étant au courant des horreurs des dictatures, que pouvaient les citoyens allemands face à une force militaire particulièrement puissante qu'utilisa aussi bien Hitler que Staline ? Il est vrai qu'Hitler fut élu. Mais là encore, les responsabilités des citoyens sont discutables. Après un gouvernement incapable de rétablir une prospérité économique, après une défaite mondiale suivie d'une somme astronomique à rembourser, après deux crises dont celle de la monnaie nationale, après toutes sortes de chutes et de rechutes, que pouvait faire le citoyen allemand sinon choisir un régime fort et prometteur. Il est évident que l'Allemand de l'Entre-deux-Guerres vota pour un gouvernement capable sans se soucier jusqu'où ce gouvernement pouvait aller. Là est peut-être la responsabilité du citoyen allemand: ne pas avoir su voir au-delà des promesses et des discours. On arrive ainsi à la propagande, utilisée aussi bien par Hitler que par Staline. Radio, cinéma, discours, parades, affiches, appuyés par l'instauration d'une terreur par les polices politiques... Comment pouvait réagir la population face à ces moyens de manipulation de foules ? Car il est sûr que les allemands furent manipulés. Dans ce cas, pourquoi ont-ils été trompés? Est-ce à cause de leur incapacité à être des citoyens responsables et conscients ? Cette hypothèse est surtout valable pour le cas de la dictature nazie. En effet, l'Allemagne ayant perdu la guerre, elle n'avait autre choix que de se rendre aux conditions des vainqueurs : l'Allemagne de l'Est devait être occupée par les forces soviétiques. Or là, ce n'est plus la question de la responsabilité citoyenne que se pose, mais plutôt celle des forces alliées qui laissèrent l'Allemagne aux mains des communistes. Mais, dans les deux cas de dictature, une question reste : Pourquoi, en Allemagne, la grève générale ne s'est-elle opposée qu'aux gouvernements de gauche ? Là, l'inaptitude des Allemands à être des citoyens responsables et vigilants et l'absence d'une conscience citoyenne sont, en effet, mis en évidence. Cette étude sur les responsabilités des Allemands dans les dictatures qui s'instaurèrent en Allemagne nous amène à mettre en doute la présence d'une quelconque citoyenneté allemande. A partir de cette conclusion, on devine l'absence d'une culture et d'une conscience citoyenne allemande, l'absence de vigilance des Allemands vis-à-vis de leur gouvernement. Ainsi, on peut admettre que les Allemands n'ont véritablement connu la démocratie qu'en 1949 pour ceux de l'Ouest et en 1989 pour ceux de l'Est. Ceci est une vision purement française! Est-ce que vous, Allemands, Grecs ou Espagnols, pensez et envisagez la même chose ? Avez-vous le même opinion ? Comment voyez-vous la conscience citoyenne en Allemagne et les responsabilités du citoyen Allemand face à la difficile construction de la démocratie en Allemagne ?
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